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SPINOZA OU LA LIBERTÉ D'ÊTRE SOI




CE QUE J’AI APPRIS AVEC SPINOZA. EPISODE 2. La liberté d’être soi.


Le procès de Spinoza est celui d’un jeune homme qui pensait autrement, sentait autrement, vibrait autrement. Ça a l’air d’être une histoire ancienne mais, en fait, semblable procès a lieu tous les jours dans les cours de récréation, dans les familles, au sein des communautés : Celui, celle, qui aspire à être libre d’être lui-même/elle-même, les autres se permettent de le/la juger et, souvent, de l’exclure.

Plus j’avançais dans l’écriture de ce roman, et plus, à l’écoute des informations à la télé, à la radio — une adolescente harcelée sur les réseaux sociaux, un jeune homme tabassée parce qu’ayant décoré un sapin alors que Noël n’était pas dans sa religion, une jeune princesse séquestrée par son père pour lui faire passer ses envies de liberté— plus je réalisais à quel point le propos était toujours d’actualité.

Évidemment ne pas juger l’autre, puisque c’est bien-là, s’il en est, la leçon à tirer, ne pas juger vaut pour les autres qui osent se le permettre. Mais si pour les autres je suis moi-même, nous sommes, nous-mêmes, « les autres », alors ne pas juger devrait valoir aussi valoir pour chacun de nous... Chiche!

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